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RETOUR DE SCÈNES ET D'AILLEURS

STADIUM
Sous la liesse, écouter les ombres...
 

RETOUR DE SCÈNES ET D'AILLEURS

"CRACHE !"
Histoire d'une langue coincée au fond de la gorge
 

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RETOUR DE SCÈNES ET D'AILLEURS

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CARNET DE FESTIVALS

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Publiés chaque jour des festivals sur les réseaux sociaux, retrouvez ici la plupart des articles, à lire comme un journal de bord libre et bienveillant.

RETOUR DE SCÈNES ET D'AILLEURS
"Ma vie à vos pieds",
l'expo co
uture
qui a du nez

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RETOUR DE SCÈNES ET D'AILLEURS
Hivernales d'Avignon,
le geste en majesté

Vers le nord

« Lune Jaune ou la ballade de Leila et Lee »... une pièce peu montée signée David Greig, portée à bras le corps depuis 4 ans par la Cie avignonnaise Il va sans dire (mise en scène : Olivier Barrère). Une histoire d’ados en cavale à la recherche de la figure paternelle et surtout (et donc) d’eux-mêmes. Il y a Leïla, dans la fougue de sa jeunesse, héroïne rock et intense, qui pourrait se rêver en Amy Winehouse (version clean) : une silencieuse qui pense pourtant, bien, et imagine, beaucoup, à voix haute. Il y a des hommes qui l’entourent, l’attirent. Et l’observent. Surtout Lee qui l'embarque dans sa cavale vers le nord. Et puis, il y a son subconscient musical qui chavire comme une boussole en pleine tempête. Sur le son des braises sous leurs pieds, et les flocons dans la brume…

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Création Fest’hiver 2023 au Théâtre des Halles

Reprise au festival Off 2023, à l'Entrepôt/Cie Mises en Scène

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C’est juste du rock’n’roll !

« Tempête, tempête… dans mon cerveau ! » braille Didier Wampas, guitare en main sur la scène de La Moba à Bagnols-sur-Cèze.  Tout va bien. La voix du chanteur et la musique du groupe nous accompagnent depuis si longtemps qu’on est heureux et surtout pas déçus de découvrir en live les nouveaux morceaux des Wampas. L’album « Tempête, tempête » vient tout juste de sortir, le groupe est déjà sur la route, accueillant un petit nouveau, un jeune guitariste aux cheveux bleus.

Sans guitare, Didier Wampas a les mains libres, et file à travers le public jusqu’au bout de la salle et surtout jusque là où son câble de micro lui permet d’aller, c’est-à-dire un peu partout. Jusqu’au bar, au-dessus du bar, accroché à une poutre pour aller faire le con sur le toit des toilettes, debout sur une chaise portée par le public et puis revenir reprendre une guitare et lancer un pogo géant qui n’épargne personne…. « Comme un punk en hiver ».

Ce n’est pas une tempête qui souffle depuis la scène, c’est beaucoup mieux que ça. On y est, comme une chaussette dans un sèche-linge. On chante des « Yeah yeah », on gueule des « Whaou », des « I love you baby »... C’est juste du rock’n’roll !

 

Vincent Furnier

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